Accusations de harcèlement moral au musée des impressionnismes de Giverny, la justice rouvre l'enquête pénale

Le supposé harcèlement moral au musée des impressionnismes de Giverny, dossier révélé par Le Poulpe, a connu de nouveaux développements, tant sur le plan de l'enquête pénale que devant la cour d'appel de Rouen en ce qui concerne le droit du travail. Le tout sur fond de nouvelles pièces que notre media a pu consulter qui mettent en cause le binôme de direction mis en place et soutenu par le ministre Sébastien Lecornu, toujours président du conseil d'administration.

Après deux années de procédure, l'affaire concernant un possible harcèlement moral au musée des impressionnismes de Giverny a connu plusieurs développements récents.  Comme le Poulpe l’avait narré, un an après avoir démissionné de son poste, Lucie*, ancienne assistante comptable du musée des impressionnismes de Giverny avait saisi la justice pénale d’une plainte pour harcèlement moral visant Cécile Stumpf, secrétaire générale du musée eurois, établissement financé par la collectivité départementale, avec à sa tête à l'époque Sébastien Lecornu, actuel ministre des armées d'Emmanuel Macron, qui reste le véritable patron politique du territoire. La plainte, que Le Poulpe avait pu consulter, témoignait du calvaire qu'aurait subi Lucie. « À longueur de journée, j’avais des réprim...

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