Par Theo Englebert - le 26/07/2020 à 11h11
Suite à une récente enquête de Mediapart sur la retraite française d'un colonel rwandais, génocidaire présumé, Le Poulpe revient sur les liens de ce dernier avec l’agglomération rouennaise, l’une des bases arrière de son organisation réputée pour accueillir de nombreux extrémistes. En février, un Rwandais installé à Rouen sera jugé aux Assises.
Le 24 juillet, Mediapart a révélé la présence en France d’Aloys Ntiwiragabo, ancien chef des renseignements militaires rwandais, architecte présumé du génocide des Tutsis et fondateur des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), un groupe armé criminel qui continue de sévir dans l’Est de la République démocratique du Congo. A la suite de la parution de cet article, le parquet n...