Au musée des impressionnismes de Giverny, « danseuse » du ministre Lecornu, un climat social au plus bas, sur fond d’accusations de harcèlement moral et de réprimandes de l'inspection du travail

Depuis 2020 et l’arrivée d’un nouveau tandem à la tête de l’établissement culturel, la situation sociale s’est particulièrement tendue. Une ancienne salariée a saisi la justice pénale pour des faits supposés de harcèlement moral tandis que l’inspection du travail et la CFDT sont montées au créneau. De leur côté, la direction du musée et la présidence du Département, principal financeur du musée, se murent dans le silence.