Alors que la démolition de l’ancien foyer de jeunes filles, un temps squatté par des opposants à un projet immobilier, a démarré au 2 rue de Joyeuse, plusieurs associations ont sollicité le ministère de la Culture pour qu’il intervienne en urgence en raison d’un possible non-respect de la procédure en matière de destruction d’une salle de spectacle et de la richesse archéologique supposée du site.
On pensait le dossier refermé, avec le compromis trouvé entre la Ville de Rouen et Sedelka, promoteur immobilier, qui ambitionne de raser un ancien couvent du centre-ville pour y édifier des logements. Si les opposants estimaient avoir obtenu une victoire en demi-teinte (abandon de la constructi...